photo Voyage en Pays d’Yves Dussin

Voyage en Pays d’Yves Dussin

Exposition

Champsecret 61700

Du 29/10/2024 au 23/11/2024

Biographie « J’étais professeur de dessin, je suis devenu professeur d’art plastique… J’étais peintre, je suis devenu plasticien ». Yves Dussin utilise des techniques et des matériaux divers pour « faire quelque chose » … ce « quelque-chose » est toujours en rapport avec ce qui le précède. De retour d’Islande par exemple après les carnets de route classiques et les collectes diverses réalisés pendant le voyage, de retour à l’atelier de grands collages lumineux et magiques lui sont apparus comme une évidence. Après un passage sur la côte nord-finistérienne, sur l’île Wrac’h, aux équinoxes, la réalisation d’une boîte évoquant ses attaches fortes pour ce coin de Bretagne, le pays pagan, c’est la technique du fusain qui s’est imposée. De grands fusains charbonneux et mystérieux, plus tard le fusain s’est mis en tendresse avec les pastels chauds violents et ensoleillés des terres du Portugal. Et puis il y a toutes ces îles : l’Irlande, les Hébrides, les Orcades, les Shetlands, les Féroé, les Lofoten, Ouessant, Sein, les Antilles, les Açores… Elles sont toutes dans l’ateliers, chargées à la fois de vents, de soleil, de pluie, de sable blanc, de sable noir. Ce dernier qui borde[...]

photo Voyage en Pays d’Yves Dussin

Voyage en Pays d’Yves Dussin

Exposition, Photographie - Vidéo

CHAMPSECRET 61700

Du 29/10/2024 au 23/11/2024

Biographie « J’étais professeur de dessin, je suis devenu professeur d’art plastique… J’étais peintre, je suis devenu plasticien ». Yves Dussin utilise des techniques et des matériaux divers pour « faire quelque chose » … ce « quelque-chose » est toujours en rapport avec ce qui le précède. De retour d’Islande par exemple après les carnets de route classiques et les collectes diverses réalisés pendant le voyage, de retour à l’atelier de grands collages lumineux et magiques lui sont apparus comme une évidence. Après un passage sur la côte nord-finistérienne, sur l’île Wrac’h, aux équinoxes, la réalisation d’une boîte évoquant ses attaches fortes pour ce coin de Bretagne, le pays pagan, c’est la technique du fusain qui s’est imposée. De grands fusains charbonneux et mystérieux, plus tard le fusain s’est mis en tendresse avec les pastels chauds violents et ensoleillés des terres du Portugal. Et puis il y a toutes ces îles : l’Irlande, les Hébrides, les Orcades, les Shetlands, les Féroé, les Lofoten, Ouessant, Sein, les Antilles, les Açores… Elles sont toutes dans l’ateliers, chargées à la fois de vents, de soleil, de pluie, de sable blanc, de sable noir. Ce dernier qui borde[...]

photo Place

Place

Spectacle, Théâtre, Théâtre

ALENCON 61000

Le 22/02/2022

La place, celle qu’on laisse ou qu’on prend, qui se refuse ou qu’on s’interdit, tel ce sentiment qu’éprouvent parfois ceux qui viennent d’ailleurs de n’être jamais au bon endroit. Née à Bagdad, arrivée en France à l’âge de 5 ans, Tamara Al Saadi signe la mise en scène de sa propre pièce, doublement primée au festival Impatience 2018, prix du jury professionnel et du jury des lycéens. L’auteure-metteure en scène partage avec humour et émotion l’expérience de l’assimilation qui signifie souvent un inconfortable entre-deux mondes. Dans un décor épuré formé de quelques chaises et d’un peu de sable, nous suivons les turpitudes de Yasmine, jeune irakienne ayant fui son pays en pleine guerre du Golfe pour trouver sa place à Paris. Alors que sa famille déracinée s’immobilise dans l’exil, la jeune fille se dédouble, tiraillée entre un Irak inaccessible et son désir d’intégration. Sur scène, un sable doré n’en finit pas de couler et emplit l’espace de jeu comme un désert. Quelques grains s’échappent des poches d’un personnage, de fines pluies tombent de la manche d’un autre. Comme le temps qui s’écoule, comme les gravats d’une ville bombardée, comme la poussière d’un jardin perdu,[...]

photo Place

Place

Spectacle

Alençon 61000

Le 22/02/2022

La place, celle qu’on laisse ou qu’on prend, qui se refuse ou qu’on s’interdit, tel ce sentiment qu’éprouvent parfois ceux qui viennent d’ailleurs de n’être jamais au bon endroit. Née à Bagdad, arrivée en France à l’âge de 5 ans, Tamara Al Saadi signe la mise en scène de sa propre pièce, doublement primée au festival Impatience 2018, prix du jury professionnel et du jury des lycéens. L’auteure-metteure en scène partage avec humour et émotion l’expérience de l’assimilation qui signifie souvent un inconfortable entre-deux mondes. Dans un décor épuré formé de quelques chaises et d’un peu de sable, nous suivons les turpitudes de Yasmine, jeune irakienne ayant fui son pays en pleine guerre du Golfe pour trouver sa place à Paris. Alors que sa famille déracinée s’immobilise dans l’exil, la jeune fille se dédouble, tiraillée entre un Irak inaccessible et son désir d’intégration. Sur scène, un sable doré n’en finit pas de couler et emplit l’espace de jeu comme un désert. Quelques grains s’échappent des poches d’un personnage, de fines pluies tombent de la manche d’un autre. Comme le temps qui s’écoule, comme les gravats d’une ville bombardée, comme la poussière d’un jardin perdu,[...]

photo Cinétraction : Les pieds dans le sable

Cinétraction : Les pieds dans le sable

Cinéma, Conférence - Débat

Mortrée 61570

Le 14/01/2022

Cinétraction est avant tout une histoire de rencontres, basée sur la convivialité. C’est un projet porté par le Comité Intercommunal d’Animation du Pays de Mortrée, qui propose des soirées de projections de films documentaires, dans 15 communes différentes, au cœur de l’Orne, aux alentours de Mortrée. À plus de 80 ans, l'infatigable Pierre Rabhi sort des salles de conférence pour œuvrer sur le terrain sablonneux de Mauritanie. Armé de toute une vie d'expériences, d'un groupe d'experts et de ses sandales de cuir, il se lance (encore) un nouveau défi : transformer l'oasis de Maaden en un modèle d'agro-écologie et d'autosuffisance. Cette utopie saharienne, née il y a deux ans dans l'esprit de son acolyte Maurice Freund, est en chantier.